Affiche de l'exposition Affiche de l'exposition Régulateur de précision, vers 1760. Détail du cartouche dans le fond du cabinet. Coll. Musée d'horlogerie du Locle - Château des Monts Régulateur de précision, vers 1760. Détail du cartouche dans le fond du cabinet. Coll. Musée d'horlogerie du Locle - Château des Monts Pendule neuchâteloise, cabinet style Louis XV, après 1754 (détail). Coll. Musée international d'horlogerie (MIH), La Chaux-de-Fonds Pendule neuchâteloise, cabinet style Louis XV, après 1754 (détail). Coll. Musée international d'horlogerie (MIH), La Chaux-de-Fonds

Jean-Pierre Droz naît le 1er octobre 1713 dans la paroisse de Renan. En 1754, il reçoit le titre honorifique d’horloger des Princes-évêques de Bâle des mains de Joseph Guillaume Rinck de Baldenstein. A partir de cette date, il signe ses pendules selon la formule : « Jean Pierre Droz, Horloger de S.A. Monseigneur l’Evêque de Bâle et de la Cour, aux Etoblons ou à La Ferrière ».

Sa production comprend tous les types de pièces d'un horloger en moyen et gros volume de l'époque : des pendules murales (dites « cartels »), des pendules de parquet (appelées « longues lignes »), des régulateurs de précision, etc. A observer les modèles conservés, il s'inscrit dans la lignée des grands penduliers neuchâtelois, auxquels il est d'ailleurs souvent assimilé. Comme eux, il puise son inspiration dans les deux sources d'influence les plus importantes du moment, la France et l'Angleterre.

A cette occasion, le MHDP édite un catalogue richement illustré comportant un texte de Mme Laurence Marti, Dr ès sociologie et sciences sociales, résultant d’une recherche approfondie sur la vie et l’œuvre de Jean-Pierre Droz.

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